• Cette pièce vit par elle-même, tel un pustule. Elle apparaît, et une fois là, elle gratte, elle gêne. Elle rappelle ou elle montre. On fait avec, peut être aura t-elle des effets ou des usages inattendus... Puis on l'éradiquera.

    Elle coïncide avec une partie des interventions dans l'espace public, qui apparaissent, un temps, puis disparaissent, "par nécessité".

     

     

    This piece lives by itself, such one pustule. It appears, and once there, it scratches, it bothers. It reminds or it shows. We make with ; maybe it will have some unexpected effects or uses*... Then someone shall eradicate it.

    It coincides with a part of the interventions in the public place, which appear, during one time, then disappear, "out of necessity".

     

    *actually it had some, with the gypsie people who slept below... but it is their story.

     

     


    1 commentaire
  • ce qui spass autour?

    ce qui spass autour?


    votre commentaire
  • !!

    !!


    1 commentaire
  • La "pièce" est le mot juste qu'il faut utiliser pour en parler, puisqu'il désigne autant l'objet artistique que, en l’occurrence, ce à quoi cet objet fait référence. Il s'agit de l'émergence d'une maison sous un pont, mais celle-ci, comme le pustule sur un visage, est inapproprié ou plutôt inappropriable, indésirable, invivable... Concrètement, c'est une maison en béton dans laquelle on ne peut pas entrer. C'est l'image d'une maison, le rêve d'une maison... pour ceux qui hantent le dessous des ponts.

     

     

    The "piece" is the right word which it is necessary to use to speak about it, because it indicates (in french) as much the artistic object as, in this particular case, what this object makes reference. It is about the emergence of a house under a bridge, but this one, as a boil on a face, is inappropriate or rather inappropriable, unwanted, intolerable... Concretely, it is a concrete house, in which we cannot enter. It is the image of a house, the dream of a house for those who haunt the bottom of bridges.

     


    votre commentaire
  • op